La beauté mise à nu
The exhibition "La beauté mise à nu" presents a selection of photographs from the 1920's to the present day, dealing with a subject that invariably attracts, across all times and cultures, the nude. The nude is the simplest représentation of our nakedness and this simplicity makes it fascinating. Through the medium of photography, the nude takes on a special dimension. It appears as closest to reality, the flesh and skin taking shape before our eyes. The contemplation of the naked body leads us back to our materiality, to our vulnerability. Sensuality often reflects nudity as we find it in grace and delicacy in the works of Ruth Bernhard or Flor Garduño. Under the lens of male photographers, the nude appears differently. With Erwin Blumenfled, Robert Mapplethorpe or Hans Bellmer to name but a few., it becomes an experimental field. The exhibition "La beauté mise à nu" gathers taround twenty artists who corroborate Philippe Jousset's idea "The secret of the nude is what we know best and what we continue to seek.”
L’exposition « La beauté mise à nu » propose une sélection de photographies allant des années 1920 à nos jours autour d’un sujet qui attire invariablement, dans le temps et les cultures, le nu.
Le nu est la figure la plus simple de notre dépouillement et cette simplicité en fait un élément fascinant. Le nu, par le médium de la photographie prend une dimension particulière. Il apparaît comme le plus proche du réel, la chair et la peau prenant corps sous nos yeux. L’observation des corps nus nous renvoie à notre matérialité, à notre vulnérabilité. La sensualité fait souvent échos à la nudité comme on la retrouve tout en grâce et en délicatesse dans le travail de Ruth Bernhard ou de Flor Garduño. Le nu se lie différemment sous l’objectif des hommes photographes. Il devient un champ d’expérimentation chez Erwin Blumenfled, Robert Mapplethorpe ou encore Hans Bellmer pour ne citer qu’eux.
L’exposition « La beauté mise à nu » réunit une vingtaine d’artistes qui corroborent l’idée de Philippe Jousset selon laquelle « Le secret du nu, c’est ce que nous connaissons le mieux et que nous continuons pas moins de chercher. »